sac celine prix Lors d’un dernier congrès de l’UEFA à Istanbul il y a trois mois, Michel Platini avait clairement milité pour le football des équipes nationales. Ce n’était pas la première fois, et hier il l’a redit : « Le public en est amoureux… » Voilà pourquoi il affichait un large sourire en présentant le bilan de cet Euro en Pologne et en Ukraine dont il a fait une apologie sans ombre : « Le sentiment qui m’habite est la fierté. Fierté pour la Pologne et l’Ukraine si souvent décriées, fierté pour leurs peuples, fierté pour les joueurs, pour les supporters. Il y a certes eu des tensions mais, aujourd’hui, je suis fier pour l’UEFA. » Comme si son soulagement était à la hauteur d’un défi organisationnel plus dément encore que d’ordinaire. sac celine Platini a vu de beaux stades remplis à 98 %, 100 % des billets ont été vendus, aucun incident né du racisme n’a été relevé, il a été convaincu par l’expérience de l’arbitrage à cinq dont on a bien compris qu’il était la réponse à ceux qui veulent introduire la technologie, il a apprécié la qualité et la technicité du jeu. Bref, dans sa croisade pour revitaliser les compétitions nationales, ces trois dernières semaines devraient apporter de l’eau à son moulin. Michel Platini a d’ailleurs déballé toutes sortes de chiffres d’audience télé pour appuyer sa thèse. sac celine pas cher Il avait interrompu, pour faire le point avec les journalistes, un comité exécutif en marge duquel il venait de poser une petite bombe : l’idée d’un Euro en 2020 à la taille de l’Europe pour un 60 e anniversaire monumental. « On va réfléchir, tout le monde va réfléchir. On pourrait avoir 12 ou 13 villes réparties sur toute l’Europe. » En clair, à la place d’aller de Gdansk à Karkhov comme récemment, les équipes pourraient aller de Londres à Amsterdam, de Moscou à Rome. Et d’ici là, rappelons que la phase finale sera passée de 16 à 24 pays qualifiés. La France va inaugurer ce format en 2016. Platini a un peu oublié d’en causer. celine sac Pour le projet de 2020, Platini a levé au débotté un aspect non négligeable de la problématique : « Nous ne sommes plus dans une période d’expansion. C’est vrai que construire un stade pour quatre matches, c’est beaucoup. Plus les routes, les hôtels, les aéroports… » Sans le dire ouvertement, le président de l’UEFA venait aussi d’une certaine façon de débriefer l’Euro 2012…
Vacío
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