Une forte radioactivité enregistrée dans un quartier de Tokyo
Un important taux de radioactivité a été enregistré dans un quartier de Tokyo il y a deux jours. Ce vendredi, les autorités japonaises affirment en avoir découvert l'origine. La?contamination ne provient pas de la centrale accidentée de Fukushima, mais de vielles bouteilles contenant?du radium.Mercredi, dans une regret du quartier de Setagaya,polo jeans ralph lauren, à Tokyo, un taux de radioactivité de 3,ralph lauren hoodies,3 microsieverts par heure?a été mesuré. A?une quinzaine de?kilomètres de là, dans la ville de Funabashi,polo ralph lauren on line, un niveau de 5,8 microsieverts par heure était au même moment enregistré?dans un parc public.Les experts?ont d'abord pensé?que cette radioactivité provenait de la centrale nucléaire accidentée de Fukushima, située?à and de 200 kilomètres de la capitale. Elle aurait pu être apportée par une accumulation d'eau de pluie contaminée. Mais comme le rapporte le site du daily suisse Le Matin, les autorités nippones ont écarté cette hypothèse ce vendredi, les specialists ayant découvert que la radioactivité provenait en réalité de vieilles bouteilles contenant du radium, un élément qui?entrait autrefois dans la composition de la peinture luminescente.Ces bouteilles ont été trouvées sous le plancher d'une maison?inhabitée. Les flacons?dégageaient un taux de radiation supérieur à 30 microsieverts par heure, le niveau maximum qui puisse être détecté par les instruments de mesure. Toutefois, les autorités se veulent très rassurantes et affirment que?la population ne court aucun risque. "Personne ne vit dans la maison actuellement et le fait de passer à proximité n'a eu aucun clash sur la santé des voisins" a assuré?un responsable du ministère des Sciences et Technologies. Retrouvez cet article sur maxisciences.comLes images surprenantes dun spécimen rare de requin cyclopeUn requin cyclope retrouvé dans le golfe de Californie au MexiqueDu 12 au 16 octobre, la Fête de la Science célèbre ses 20 ansEt l'Hoverboard devient réalitéradioactivité