Une proposition de loi sur l’organisation de la primaire avait déjà été déposée par les radicaux de gauche (PRG) en 2006, mais elle ?donnait un contenu politique? au processus, selon Olivier Ferrand qui préfère laisser à chaque parti le soin de fixer le calendrier, le financement et la stratégie de sa primaire.

Terra Nova propose une loi pour donner un ?label? à la primaire

Les Fran?ais en redemandent. Un mois après la première primaire PS ouverte aux sympathisants,Tods Moccasin Chaussures, deux tiers (66%) des personnes interrogées par l’institut Opinion Way (1), souhaitent que tous les partis politiques se saisissent de ce mode de désignation d’un candidat à l’élection présidentielle. Fort de ce sondage qu’il a commandé, le think tank proche du PS, Terra Nova, a rédigé une proposition de loi cadre pour pemettre ?à tous les partis qui le souhaitent? de tenir une telle consultation. L’idée, explique la fondation d’Olivier Ferrand, qui revendique la ?paternité intellectuelle? de la primaire en France, est de créer un ?label? et une ?base juridique? en s’appuyant sur l’expérience socialiste. C?té financement, s’il s’agit de laisser à chaque parti la liberté de fixer le budget dévolu à ses candidats,tods, Terra Nova plaide pour que les dépenses du vainqueur ne soient pas ensuite intégrées à ses comptes de campagne. En contrepartie,Tods Competition Shoes, la (...) Lire la suite sur Liberation.frAffaire Agnès?: Vallini veut généraliser les ?centres fermés?Snif, personne ne veut me parrainerPour Fillon, Toulon n'est pas une?promenade de?santéBoutin prie pour avoir ses 500?signatures?Responsabiliser les malades? a-t-il un sens?? Tirant les le?ons de la compétition des 9 et 16 octobre que ses experts -fran?ais et étrangers - ont suivie ?embedded? avec les candidats en campagne, Terra Nova suggère d’inscrire dans la loi plusieurs dispositifs pour faciliter la vie des partis organisateurs. Ils pourraient ainsi accéder aux listes électorales dans leur format numérique et disposer gratuitement des ?bureaux de vote de la République? les jours prévus pour le scrutin. Les socialistes, accusés par l’UMP de ?fichage politique?, avaient peiné à obtenir les listes de la part de certaines préfectures et avaient d? batailler avec quelques maires récalcitrants pour se voir prêter ou louer des salles, bien situées et à des loyers honnêtes, pour y tenir le vote.