'Cet incident est très inquiétant. Il est la preuve de la détérioration de la sécurité à Tripoli',tods gommino loafer, note un journaliste tripolitain, estimant que chaque brigade des thowars 'veut faire la loi'.

Le gouvernement a par ailleurs promis de mettre fin à la présence d'armes dans la capitale d'ici la fin de l'année, a déclaré, mardi, Abdelrazzak Abou Hajar, président du conseil local de Tripoli, après des violences ces derniers jours entre ex-rebelles.

CHAQUE BRIGADE 'VEUT FAIRE LA LOI' Par ailleurs, selon des témoins,tods bottes, des dizaines des civils et d'hommes armés ont forcé l'entrée du tribunal de Tripoli et se sont rués vers le bureau du procureur général, Abdelaziz Al-Hsadi,tods chaussures, réclamant la libération d'un des thowars les anciens combattants révolutionnaires qui serait impliqué dans une affaire de meurtre. Le gouvernement libyen somme les milices de quitter Tripoli Le gouvernement libyen a donné deux semaines aux milices armées pour quitter Tripoli, mardi 6 décembre, sous peine de fermeture de la capitale à la circulation. Si le 20 décembre 'les milices ne quittent pas la ville, la population de Tripoli et le gouvernement fermeront la ville à la circulation', a indiqué le bureau du premier ministre, Abdel Rahim Al-Kib, dans un communiqué. Des Tripolitains ont commencé lundi à fermer à la circulation des avenues et routes pour protester notamment contre la présence de factions armées venues d'autres localités et qui avaient participé à la libération de Tripoli en ao?t dernier, mais n'avaient pas quitté la capitale. Le procureur a pris la fuite, avant d'être rattrapé par les manifestants en colère qui exigeaient la signature de l'ordre de libération de l'accusé. On ne sait pas dans l'immédiat s'ils ont eu gain de cause. Le ministre de l'intérieur, Faouzi Abdelali, a annoncé, jeudi dernier, un plan d'intégration à court terme de cinquante mille combattants ex-rebelles dans les forces armées et celles du (...) Lire la suite sur lemonde.frLes autorités libyennes interceptent plus de 400 immigrants clandestinsLe gouvernement libyen somme les milices de quitter Tripoli Quand la société fran?aise Amesys aidait Kadhafi à traquer les opposants libyensLibye : 50 000 ex-rebelles seront intégrés dans les forces de sécuritéLa CPI enquête sur les crimes sexuels commis par les partisans de KadhafiInscrivez-vous aux newsletters du Monde.fr INTéGRATION DANS LES FORCES ARMéES