Ryan Gosling, maxi driver
Il n’y a pas si longtemps,prix longchamp,cuisinière de C à Vous est décédée, toute interview accordée par Ryan Gosling débutait inévitablement par une question sur le Mickey Mouse Club, cuvée 1993. Une sorte de corvée préliminaire à laquelle l’acteur se faisait un devoir de répondre sans réprimer un soupir. Oui, il a commencé sa carrière à 12 ans avec Britney Spears, Justin Timberlake, Christina Aguilera, Keri Russell et JC Chasez. Oui, DisneyWorld reste un de ses lieux favoris. Absolument, il a adoré vivre en vase clos avec la petite bande. Non, sa carrière n’a pas eu à patir du miniscandale lorsque des journaux avaient dévoilé que le petit Ryan, diablement précoce, avait fait étalage avec force détails, de sa culture en matière de positions sexuelles à ses petits camarades.Au dernier Festival de Cannes,ozzy osbourne, il était venu présenter Drive,La meilleure Gameblag de la semaine du 16/10/11,longchamp paris, de Nicolas Winding-Refn, un polar hommage aux années 80, sec comme un coup de trique qui est reparti avec le prix de la mise en scène. Et quiconque a assisté à la formidable démonstration de Gosling,sacoche longchamp, blouson frappé du scorpion cher à Kenneth Anger, en cascadeur faisant le chauffeur occasionnel pour des malfrats dans un Los Angeles qui rappelle Thief (Michael Mann) ou Police Fédérale Los Angeles (William Friedkin), sait qu’il a un bel avenir devant lui. Avant sa sortie en salles le 5 octobre, on pourra découvrir Ryan Gosling le 14 septembre au c?té de Steve Carrell dans une comédie américaine pur jus : Crazy, Stupid, Love des duettistes Glenn Ficarra et John Requa qui avaient signé le dernier Jim Carrey potable, I Love You Phillip Morris. Et tout de suite après Drive, viendra The Ides of March, nouvelle le?on centre gauche de George Clooney. à 31 ans, sa carrière a des allures de parcours idéal. Et pourtant, la justesse et la précision avec lesquelles le nouveau ?golden boy? d’Hollywood rentre dans la peau des paumés, camés, déboussolés et autres dépressifs lourds qu’il incarne souvent laissent penser que, à certains moments de sa vie, sa route ne fut pas pavée de pétales de (...) Lire la suite sur Liberation.frDans la famille Delpy...Fukasaku dans le Yakusa eigaOccupation de Wall Street : des?people en guest starsRyan Gosling accélèreCinéma : une faim de Lyon