Et pour celles qui comme moi, ont un mari qui passe l'aspirateur... ben c'est plus facile pour lui aussi!
Bref,chaussures foot mercurial, il est ergonomique. Ce qui permet de faire son ménage sans effort et donc du mettre du plomb dans l'aile aux machos qui affirment à leur femme que faire le ménage c'est bon pour la ligne puisqu'elle br?le des calories.
Et Dyson créa l'aspirateurCe week-end j'ai testé l'aspirateur Dyson Ball. Et la ?a a été une espèce de révélation. Outre le fait que pendant que mes collègues masculins testent des voitures (de sport), des robots, et des gadgets électroniques, moi, je teste des aspirateurs. Comme quoi il y a encore du boulot en terme de parité. Petite consolation : l'aspirateur en question. Je m'étais toujours demandé comment Dyson faisait pour vendre des aspirateurs aussi chers. A partir de 549 euros pour celui-ci (ah, quand même). Mais il y en a d'autres un peu moins chers (à partir de 250 euros, tout de même!). Après avoir joué la ménagère de moins de 50 ans (que je suis,Mercurial Ronaldinho IC, finalement) j'ai compris : parce que cet aspirateur est très bien. Déjà, il aspire, ce qui n'est pas toujours le cas. Et en plus celui-là, il aspire très bien. Pour le prix, il peut. Et tout est dans le détail. La brosse a de petites roulettes qui facilitent le passage, la poignée sur le tuyau est super ergonomique. Le tube se bloque vraiment (moi qui ait un aspi dont le tube se rétracte dès qu'on appuie un peu fort, je trouve ?a formidable!). Il est aussi très maniable, c'est son c?té, Ball, mais se bloque quand même un peu dans les angles, normal, c'est un aspirateur. C?té entretien de la bête, pour vider la poussière, nettoyer les filtres : c'est facile aussi (cri de joie non feinte,vapors mercurial, pour ceux qui ne comprendraient pas pourquoi, j'ai un sans sac d'une marque d'un pays du nord et c'est d'un pénible de faire tout ?a). Le seul problème reste donc le prix, même si James Dyson explique que l'innovation se paye (et il a (...) Lire la suite sur Figaro.frInscrivez vous à la newsletter du Figaro