Anka et Marie, partisanes de l'Est exécutées
A l'heure où notre président fait campagne pour le patriotisme (lire le malodorant projet de loi : "Allégeance aux armes" : la proposition polémique de l'UMP ), et en cette période de commémoration des attentats du 11 septembre, il serait peut-être intelligent de parler du patriotisme sous l'occupation, il y a quelques années ... Comment une nation qui a fait fusiller ses patriotes, peut-elle quelques décennies plus tard réagir à l'opposé et sanctionner ceux qui ne le seraient pas ? Hélas, ce phénomène n'est pas réservé à la France, qui essaie de s'exorciser, en commémorant Guy Moquet (lire Guy Moquet et sa lettre) : dans tous les pays d'Europe, les gens qui aimaient leur pays au point de refuser toute corruption,ray ban cats, en ont payé de leurs vies. Lors de la seconde guerre mondiale, les communistes, les résistants, les partisans, la plupart très jeunes, ont été traqués, incarcérés, torturés,gafas ray ban aviator, fusillés ; et ce dans tous les pays d'Europe. Dans cet article, je rendrai juste hommage aux femmes courageuses, qui ont perdu la vie pour avoir voulu garder libre leur nation. A travers deux exemples de pays de l'Est (pays encore tabous de nos jours en France ; allez savoir pourquoi...), découvrons les destins tragiques de ces partisanes. Yougoslavie - Anka Kne?evicNée à Podgorica en 1924, elle devient agent de liaison entre le centre clandestin communiste de Podgorica et les formations partisanes de la région. Une première fois arrêtée en 1942, puis relachée en octobre 1943, elle est arrêtée à Podgorica le 23 décembre 1943. Torturée par des éléments de la Gestapo et des collaborateurs, elle est fusillée en avril 1944. Sa lettre d'adieu : Mes très chers, Je vous écris aujourd'hui ma toute dernière lettre,gafas ray ban wayfarer precio, car je sais que demain à 10h je me dirigerai vers la mort. Je ne regrette pas de partir si jeune dans une tombe si froide, je ne regrette pas de partir en ayant réussi à sauvegarder mon honneur et ma réputation et je (...) Lire la suite sur agoravox.frPourquoi je voterai pour Martine Aubry à la Primaire citoyenneEst-il normal de risquer ainsi sa vie en exer?ant son métier ?Gaz des schistes : Abrogation ou le joli conte de Monsieur FillonEntre Royal et Montebourg : mon dilemme pour un vrai socialisme