L'action Peugeot plonge, Renault résiste
Plusieurs cabinets d'analyse ont revu à la baisse leurs objectifs de cours sur Peugeot, alors que des études plus affirmatives commencent à appara?tre sur Renault. En Bourse, ces deux groupes restent malgré tout très vulnérables à un ralentissement de l'activité en Europe. Nos deux constructeurs car ne sont and des compagnons d'infortune qu'ils ont été durant toute la baisse de l'été. Depuis quelques séances, Renault fait preuve d'une réelle résistance,cheap christian louboutins, alors que Peugeot persist de s'enfoncer vers ses plus bas niveaux de l'année avec une baisse de and de 2?% du titre à la mi-séance à 16,5 euros. Renault figure aussi dans le palmarès des plus fortes baisses de l'année, mais le titre s'est adjugé 12?% en quatre semaines pour revenir vers les 27 euros. Plusieurs cabinets d'analyse financière, dont le dernier en date, Natixis Securities ont révisé leurs objectifs de cours à la baisse sur Peugeot avec à chaque fois le même controversy de fond?: la trop forte vulnérabilité du groupe au marché européen qui risque de ralentir dans les prochains mois. Autre sujet d'inquiétude,tods, des marges très faibles qui peuvent à tout moment faire basculer le groupe dans le rouge. Après Renault , Peugeot vient d'ailleurs d'annoncer des mesures de ch?mage partiel dans ses usines fran?aises. Sur Peugeot , les attentes bénéficiaires des analystes sont désormais orientées à la baisse. Les analystes anticipent un bénéfice net par behavior de 4,8 euros pour 2011 et de 4,7 euros pour 2012 avec des révisions qui pourraient s'intensifier dans les semaines à venir. La faible valorisation du titre qui se paie 3,tods online shop,4 fois les profits de l'année en cours ne constitue pas un argument d'achat suffisant compte tenu des craintes de dégradation des résultats en 2012. Renault est tout aussi faiblement valorisé, mais grace à sa présence dans les pays émergents, dont la Russie, et surtout en raison des bonnes representations de Nissan, ses résultats devraient mieux résister. Les (...) Lire la suite sur Figaro.frInscrivez vous à la newsletter du Figaro