Berlusconi n'est plus ma?tre chez lui?
à la veille d'un Conseil européen décisif, il s'est mis d'accord in extremis sur la réforme des retraites avec son allié de la Ligue du Nord,carrera gipsy, Umberto Bossi. Ce dernier reste ?pessimiste? sur les chances de survie de la coalition. ?Cette fois-ci, la situation est très sérieuse. On risque vraiment la crise?: l'air sombre, Umberto Bossi a brossé mardi matin un tableau noir des tensions qui ébranlent à nouveau la majorité avant de s'engouffrer à l'intérieur du Palais Grazioli,ray ban cuadrados, la résidence privée de Silvio Berlusconi . Depuis son retour de Bruxelles , où il a été vertement rabroué dimanche pour le manque de réformes structurelles de son gouvernement, le président du Conseil est à la peine. Rencontres, d?ners et conciliabules se sont donc multipliés depuis trois jours, sans parvenir dans un premier temps à convaincre la Ligue du Nord, son allié au gouvernement, de la nécessité d'une réforme des retraites : ?Pas question d'augmenter l'age des départs à la retraite. Nous avons déjà donné?, affirmait Umberto Bossi. Mais mardi soir ce dernier a annoncé qu'un accord avait été trouvé avec Berlusconi. ?Inopportun et désagréable?? à Bruxelles, Silvio Berlusconi avait envisagé d'augmenter rapidement l'age des retraites ?de vieillesse? à 67 ans (au lieu de 65 ans) et d'allonger la durée de cotisation des retraites ?d'ancienneté?, que les Italiens peuvent prendre dès 58 ans, après quarante ans de cotisation. La Commission européenne attendait mardi soir une lettre dans laquelle Silvio Berlusconi préciserait l'ampleur des réformes structurelles qu'il compte présenter mercredi au Conseil européen . En toute hypothèse,RB2140-66, si le gouvernement devait tomber faute de parvenir à un compromis, ce que Bossi n'exclut pas, ?on retournera aux urnes?. Pas question pour lui d'accepter un gouvernement de transition, fut-il dirigé par un fidèle de Berlusconi comme son bras droit, le secrétaire d'état à la présidence du Conseil Gianni Letta, qui jouit d'une grande (...) Lire la suite sur Figaro.frLa Tha?lande à la merci d'un ?coup d'état aquatique? ?La Tunisie et la Libye vivent une sorte de normalisation? La Libye demande à l'Otan de prolonger sa mission Les islamistes tunisiens?face au défi?du pouvoir en Tunisie Inscrivez vous à la newsletter du Figaro